Chaque jour expose constamment l’organisme humain à de nombreux risques de maladies. En la matière, il faut dire que toutes n’atteignent pas les mêmes organes et n’ont pas la même gravité. Les AVC en ce qui les concerne font partie des maladies cardiaques les plus dangereuses. Alors, comment faire pour bien vivre après un AVC ?
L’AVC opère quelques transformations sur la victime
Les AVC sont le type de maladies qui ne laissent pas indifférents ceux qui en sont victimes. En plus d’être des crises ponctuelles qui empêchent pendant un moment le fonctionnement du cœur, ces derniers peuvent laisser de gros troubles du cerveau et sur la santé en général du patient. Dans le même temps, la médecine reconnaît qu’après un accident cérébral, les risques de rechute chez le patient sont encore plus importants. Si des mesures ne sont pas prises pour garantir un bon traitement à la victime, celle-ci a d’énormes chances de faire de nouveau une crise dans les jours qui suivent.
La correction des facteurs risques
Si vous voulez vivre une vie presque normale après un AVC, il est indispensable de commencer à travailler de sorte à réduire les facteurs de risques pouvant entraîner ce genre de crise. Dans un premier temps, évitez ou limitez tout facteur externe susceptible d’entraîner une augmentation brutale du rythme cardiaque ou de la pression artérielle. En réalité, après une crise d’AVC, la moindre des choses est de veiller à conserver un rythme cardiaque normal. Pour ce faire, l’idéal serait d’éviter au maximum les activités trop intenses ou les fortes émotions telles que la colère ou le stress. Dans un second temps, abstenez-vous autant que possible de boire de l’alcool ou de fumer. Cela ne ferait qu’affaiblir votre cœur et accroître vos risques de maladies.
La phase de rééducation
Ce n’est pas toujours évident de se relever facilement après une crise d’AVC. Dans 95% des cas, vivre après un AVC exige une éducation thérapeutique. Celle-ci a pour but non seulement de guérir les séquelles laissées par la crise, mais aussi de vous aider à mieux y réagir. En général, c’est grâce à des stratégies de kinésithérapie que les séquelles comme l’hémiplégie ou les difficultés d’expression sont corrigées. Toutefois, dans certains cas, le malade peut se trouver dans une phase aiguë de la maladie. À ce moment précis, les techniques kinésithérapeutiques permettent d’anticiper certains impacts et de prévenir d’éventuelles complications.
Pourquoi cette rééducation ?
Quelques mois après la crise d’AVC, il est indispensable de se faire rééduquer convenablement dans un centre spécialisé. En effet, cela a pour principal but de vous permettre d’accéder à une meilleure indépendance fonctionnelle. Une rééducation réussie améliore sensiblement la santé du patient. On assiste d’abord à une réparation considérable de la préhension.
Ensuite, on peut parler du retour de l’équilibre chez le patient après, une amélioration considérable de la marche quelques semaines seulement après le début de la thérapie. Enfin, un retour progressif des aptitudes communicationnelles. Hormis toutes les thérapies populaires que vous connaissez certainement, il existe plusieurs autres traitements analytiques qui peuvent être adoptés en fonction de la gravité des séquelles. Un médecin en fait généralement usage pour améliorer l’autonomie de son patient.